Le ministère affirme désormais que les programmes d’Agir pour l’École « divisent la difficulté scolaire par deux » mais la réalité de leurs effets est pourtant bien différente. Si les études ont montré que la méthode parvenait à renforcer les compétences spécifiques sur les habiletés qu’elle entraînait intensivement, aucune recherche scientifique n’a jamais établi qu’elle ait un effet bénéfique à terme sur la compétence de lecture. Une bonne raison de ne pas accepter d’être contraints à les mettre en œuvre.
https://pauldevin.files.wordpress.com/2018/06/agir-pour-lecole.pdf