Contre le fichage de syndicalistes par l’extrême droite
Le CP intersyndical sur le fichage par l'extrême droite, la FSU en a été à l'initiative et continue l'action sur le terrain juridique.
Le CP intersyndical sur le fichage par l'extrême droite, la FSU en a été à l'initiative et continue l'action sur le terrain juridique.
La ministre a annoncé qu'au 1° octobre, l' indice minimum passerait à 340 (et non à 337 comme ce qui avait été annoncé en juillet). C'est un ajustement à la progression du SMIC, et en effet c’est mieux qu’une indemnité différentielle qui aurait été versée aux agents concernés sans cela... mais c'est beaucoup moins bien qu'une revalorisation de la valeur du point, ce que nous avons dit.
Les organisations signataires de l’appel aux marches du 12 juin pour les libertés et contre l’extrême-droitisation dénoncent la constitution de fichiers par le site Fdesouche. Il s’agit d’un fichage illégal et dangereux de la part d’un groupe activiste d’extrême-droite dont il est légitime de s’interroger sur l’usage qui pourrait en être fait. Nous affirmons notre solidarité avec toutes celles et tous ceux qui y figurent. Nous appuyons les différentes plaintes qui seront déposées. Ce type de pratique démontre, s’il en était encore besoin, la nécessité du combat contre l’extrême-droite, ses idées et toutes celles et ceux qui les propagent.
Depuis le 1er janvier 2021, les AESH et AED ont vus leurs droits s’élargir grâce à la mobilisation syndicale, ils peuvent désormais bénéficier des deux prestations d’action sociale suivantes : - prestation individuelle CESU-garde d’enfants 0/6 ans - dispositif collectif « Actions mises en œuvre par les Sections Régionales Interministérielles d’Action Sociale » (SRIAS) Ces prestations dépendaient jusqu’alors de l’employeur. Aujourd’hui, qu’il soit le Rectorat ou un lycée-employeur (EPLE), vous pouvez enfin [...]
Alors que les politiques de régression sociale engendrent injustices et discriminations de toutes sortes et accélèrent la crise climatique, il est urgent de mettre en débat des propositions de solutions concrètes, basées sur les solidarités, telles que celles portées par nos organisations. Aboutissement d’un travail collectif de plus d’un an, le collectif Plus Jamais Ca présente un plan de rupture qui énonce 36 mesures essentielles pour une transformation profonde de la société.
Courrier envoyé par CGT FP, FA FP, FSU et SOLIDAIRES relatif au travail sur le pouvoir d'achat et les perspectives salariales. Les autres OS de la fonction publique n'ont pas souhaité s'y associer.
La rentrée 2021 est de nouveau lourde d’enjeux sociaux : poursuite de la crise sanitaire et de sa gestion toujours aussi chaotique et autoritaire par le gouvernement, situation économique et sociale marquée par l’aggravation des inégalités et de la précarité, accélération de la crise environnementale, débat électoral qui fait peu de place aux questions de services publics, d’éducation et aux alternatives économiques, sociales, écologiques et féministes que nous portons. Il s’agit donc pour la FSU, et plus largement le mouvement social progressiste, d’imposer ces thèmes dans le débat public, par des mobilisations d’ampleur. Dans ce contexte, la réussite des actions dans l’éducation le 23 septembre, des retraité-es le 1er octobre et dans le cadre interprofessionnel le 5 octobre sera déterminante et des suites doivent en être définies rapidement avec les organisations appelantes. La FSU s’oppose à l’entrée en application de la réforme de l’assurance chômage, car elle diminuera les droits de toutes et tous. La réforme des retraites, et notamment la suppression des régimes spéciaux et des mesures d’âge, est régulièrement remise en selle, la FSU reste déterminée à combattre toutes régressions des droits à retraite et à obtenir une toute autre réforme.
du 15 Septembre 2021 Cette rentrée s’effectue encore dans un contexte particulier. Deuxième rentrée sous covid, la crise sanitaire n’est pas encore dernière nous. Les enseignant.es doivent plus que jamais faire face à de multiples difficultés liées au contexte sanitaire et surtout à l’absence de mesures concrètes de la part des ministères de l’éducation nationale et de l’enseignement supérieur. Les conséquences négatives de la crise sanitaire sur les apprentissages des élèves et des étudiant.es ne sont toujours pas traitées.
Les annonces d’Emmanuel Macron, le 2 septembre à Marseille, ont relancé la question des pouvoirs des directeurs d’école. Sur le terrain, ces derniers demandent surtout plus de temps et d’autonomie pour accomplir leurs missions.
Le SNES-FSU met en ligne la carte des effectifs dans les établissements : les effets des suppressions de postes sont visibles, avec de plus en plus de classes chargées.