COMMUNIQUÉS

Les mobilisations de ce début d’année scolaire, que ce soit l’action des retraité-es, la journée interprofessionnelle du 5 octobre ou les actions qui ont eu lieu dans les secteurs comme l’éducation, la justice, la fonction publique territoriale, reçoivent un bon accueil des collègues et de l’opinion, actent le maintien d’une combativité importante mais peinent à rassembler très largement. Pour redonner espoir et favoriser les mobilisations, une alternative politique à gauche est nécessaire.

Cette rentrée, au-delà du contexte sanitaire dégradé et anxiogène, est marquée par plusieurs éléments inquiétants pour notre système éducatif : - Les suppressions de postes et la dégradation des conditions d’enseignement dans les établissements alors que les deux dernières années scolaires nécessiteraient une politique d’éducation ambitieuse pour encadrer les élèves et leur permettre de partiellement récupérer les déficits d’enseignements liés à la crise sanitaire de la covid19 ; - Un baccalauréat général qui devient local avec des textes publiés fin juillet (!) pour une mise en œuvre à cette rentrée, des interrogations sur le DNB, autant d’éléments qui ne permettent pas, une fois encore, de travailler avec les équipes, de communiquer aux élèves et parents, dans des délais compatibles avec une saine organisation.